Thérèse ne pourra jamais expliquer la présence de ce tatouage coquin sur sa fesse droite, parce que la tannante est morte. Pour la narratrice, c’est un mystère autant qu’une injustice: pourquoi sa grand-mère chérie, avec qui elle partageait une complicité en apparence illimitée, lui aurait caché ce geste subversif ? Peut-être n'y a-t-il pas de meilleure façon de trouver des réponses, de vivre ce deuil et les autres, qu'en reprenant le flambeau de sa joyeuse révolution.